Connaitre son schéma intellectuel : aussi important que de connaitre le gabarit de sa voiture !
Bonjour à tous, je suis ravi de vous retrouver pour ce nouvel article. Aujourd’hui, nous allons aborder la thématique de l’intelligence, une qualité souvent diverse et parfois mal comprise. Nous nous pencherons sur la nécessité de prendre conscience de notre propre forme d’intelligence, de connaître notre schéma intellectuel pour mieux nous comprendre et interagir avec le monde qui nous entoure.
I. L’intelligence au-delà des clichés
Lorsque l’on évoque l’intelligence, il est crucial de dépasser les clichés liés aux notions de QI élevé, de HPI, HPE ou de surdouance. En réalité, l’intelligence revêt différentes formes, et chacun de nous peut explorer sa propre singularité intellectuelle.
Par analogie, considérons simplement la taille corporelle. De la même manière que l’on connaît sa taille pour choisir des vêtements adaptés, comprendre notre intelligence nous permet de mieux nous orienter dans la vie. Si, par exemple, nous sommes dotés d’une vivacité d’esprit, il devient essentiel de reconnaître et d’évaluer cette caractéristique.
Dans ce cheminement introspectif, il est primordial de se libérer des comparaisons stériles. Il ne s’agit pas de se placer en position de supériorité, mais plutôt de reconnaître notre schéma intellectuel comme une pièce unique dans le puzzle de la vie.
II. Le pouvoir de l’intelligence « bien comprise »
Parfois, il est difficile de saisir la nature de notre intelligence sans une évaluation consciente. Bien que les tests de QI ou autres puissent être coûteux (ou solutions pas adaptées voire hors de prix), s’autoriser à s’évaluer reste tout de même une première étape non-négligeable afin de mieux comprendre nos forces et nos faiblesses intellectuelles et mieux se connaitre. Personnellement je ne suis pas fan des tests, mais j’accompagne autant les personnes qui ont été diagnostiquées auprès de confrères sophrologues ou psychologues que les personnes qui ne souhaitent pas se faire « mesurer ».
En observant notre intelligence sous un angle plus large, nous pourrons identifier ses avantages et ses inconvénients. Par exemple, les personnes créatives, aux méninges agiles, peuvent par exemple faire l’expérience d’une anxiété plus prononcée. Cette connexion entre l’intelligence et l’anxiété mérite d’être explorée, tout comme la tendance au doute et à l’autocritique fréquente chez ceux dotés d’une intelligence particulièrement développée.
Les points qui reviennent constamment que j’ai pu observer chez mes patients ou proches dotés d’une intelligence particulière sont : le doute, la remise en question et l’anxiété. C’est comme un réflexe, quasi-systématique où la personne va se remettre en question et sans aucune raison particulière. Bien-sûr il en va de soi que ce doute, parfois poussé dans l’excès, est lié à un manque de connaissance de sa propre forme d’intelligence.
III. Naviguer dans la vie avec intelligence
Se connaître intellectuellement devient ainsi une clé pour naviguer efficacement dans la vie. Il s’agit de comprendre comment notre intelligence peut s’épanouir dans différentes dimensions, tout en étant conscient des éventuels inconvénients. Cela peut éviter de se retrouver dans des situations où notre potentiel n’est pas pleinement exploité, tout comme un individu agile d’esprit serait mal à l’aise dans un travail routinier.
La métaphore de la voiture illustre bien cette idée : chacun a ses propres capacités intellectuelles, tout comme une Porsche excelle sur une piste, mais pourrait être inefficace dans un terrain accidenté. Reconnaître nos forces et les utiliser judicieusement contribue à une vie épanouissante.
Conclusion
Au-delà des défis, comprendre son intelligence offre un pouvoir inestimable. En s’appréhendant avec bienveillance, on peut exploiter ces caractéristiques uniques pour enrichir sa vie et contribuer de manière positive à son entourage. Ce voyage introspectif devient ainsi une clé pour un épanouissement personnel et des interactions plus harmonieuses avec le monde qui nous entoure.
Cette brève exploration de notre intelligence vise à encourager la compréhension de soi-même afin de pouvoir contribuer au monde avec authenticité. Il ne s’agit pas de se comparer aux autres, mais plutôt de trouver sa place idéale dans le grand puzzle de la vie. En comprenant notre schéma intellectuel, nous pouvons contribuer de manière unique au monde qui nous entoure, offrant nos réelles qualités avec authenticité.
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« Bonjour à tous, je suis ravi de vous retrouver pour cette nouvelle vidéo. Alors, il va falloir très sincèrement que je change un peu ma phrase d’intro parce qu’en fait des fois quand je regarde un peu ce que j’ai déjà fait, c’est toujours pareil. Donc, je vais essayer d’innover, mais là, je n’ai pas le temps. Je vais au plus court et je vais faire une petite vidéo relativement simple, accessible, mais qui peut rester pertinente pour les personnes qui sont un peu en quête de compréhension d’elles-mêmes, voire des fois en quête de compréhension des autres, parce que des fois, c’est, qu’est-ce que c’est les autres, quoi ? Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi ils ne font pas ça comme ça ? Pourquoi ils ne réfléchissent pas ?
On va parler un petit peu d’intelligence, alors pas forcément élevée ou autre, une forme d’intelligence. Et c’est vrai que, bon, vous le savez, hein maintenant, les HP, les surdoués, les Zèbres, vont avoir souvent une forme d’intelligence, on va dire, qualitativement différente, pas toujours supérieure. Après, ce sont des personnes qui sont, en principe, relativement vives d’esprit.
Moi, par exemple, je suis relativement grand. Il y a bien plus grand que moi, hein, mais je fais un peu plus d’1,80 m. Et je trouve que c’est quand même assez intéressant de connaître sa taille. C’est comme la taille des pieds, par exemple, quand on va commander des chaussettes ou les acheter, on ne va pas toujours les essayer. On connaît sa taille, forcément. On va acheter des chaussettes ou des chaussures adaptées à sa taille, par exemple. Ça évite d’avoir mal au pied, ça évite d’acheter des chaussures trop grandes dans lesquelles on va nager, et dans lesquelles on ne va pas être forcément bien.
Bon, ça, c’est parce que c’est très facile à apprendre, en fait, hein, la taille, on le voit tout de suite. C’est extérieur, ça se voit, et on peut, quelque part, par comparaison, même si ce n’est pas une comparaison, voyez, ce n’est pas pour se comparer en plus ou en moins, mais juste par comparaison avec des références, se dire, bah, tiens, je suis plutôt grand, et donc, je vais avoir certains avantages dans ma vie par rapport à certains sports, pour aller chercher des produits dans les grandes surfaces quand ils sont un peu en hauteur sur les rayons. Moi, ça m’arrive des fois d’aider une personne qui est un peu trop petite, et je l’aide à attraper les choses qui sont placées un peu trop haut pour elle.
Et étant donné que le truc, c’est que tant qu’on ne fait pas quelque part une évaluation sur sa forme d’intelligence, c’est beaucoup plus difficile, en fait, de se repérer, voyez, un petit peu par rapport aux autres, et de comprendre, en fait, quels sont les avantages de sa qualité intellectuelle, quelque part, ou de sa quantité intellectuelle. Ça peut aussi être pour les personnes qui ont un QI relativement important. Mais je pense que dans notre société, si on a un QI important, et surtout s’il est typé un peu traditionnel ou normo-pensant, ça va plutôt bien aller dans la vie, parce que tout le système est basé là-dessus. Et donc, forcément, c’est un peu comme si par exemple vous étiez sur une piste avec un bitume nickel, comme un circuit de Formule 1, et que vous aviez soit une Porsche, soit une Ferrari. Donc, forcément, ça va correspondre.
On n’est pas en train de dire qu’on est en train de faire du 4×4 dans les bois et cetera. Tout le système étant construit sur une intelligence qui est similaire à la vôtre, si c’est votre cas, ou à la personne qui a ce QI élevé, normalement, ça va être très facile pour elle d’avancer dans la vie, puisque tout ce qu’on va lui proposer finalement va rentrer dans ses cordes, quelque part, et elle va avoir beaucoup de facilité à utiliser tout ce qu’elle doit utiliser dans sa vie, que ce soit pour faire les papiers, pour utiliser un ordinateur, il y a beaucoup de choses qui sont construites sous une forme d’intelligence.
Alors, là, l’idée, c’est juste d’éveiller un petit peu vos méninges sur cette notion de, tiens, ben comment, en fait, on peut s’évaluer. Ce n’est pas toujours évident. Je vais pas toujours vous donner des solutions pour le faire, mais juste vous amener sur le fait que, oui, parfois, c’est vraiment intéressant, en fait, de connaître quelque part sa forme d’intelligence, dans quelle dimension elle va pouvoir s’épanouir, et puis aussi les inconvénients qu’elle peut avoir parfois. Moi, par exemple, ce que je peux constater, et sans forcement dire que ce sont des vérités, que ça a été prouvé, que c’est démontré par les spécialistes. C’est ce que j’observe dans ma vie tous les jours avec mes proches, qui ont été parfois diagnostiqués, d’autres pas, qui je suis sûr que s’ils font le test, « bingo, ils sont dedans ! », et puis aussi sur moi-même à travers mon métier.
Mais clairement, par exemple, moi, toutes les personnes qui avaient quand même une intelligence assez développée, ou en tout cas une vraie vivacité d’esprit, avec ce côté souvent où les personnes ont été diagnostiquées HP, que ça soit HPE ou HP, bien que les HPE on les diagnostique pas vraiment en France, en fait, ou ailleurs, je sais pas, mais en tout cas, c’est qu’il y a quand même des choses qui reviennent régulièrement.
Alors, par exemple, on pourrait parler des avantages. Moi, je vais vous parler des inconvénients. Les personnes, par exemple, qui sont très créatives et qui ont ces méninges qui s’activent très souvent vont souvent être relativement anxieuses. Et je pense que c’est intéressant de faire le lien, en fait, entre l’anxiété et parfois une forme d’intelligence. C’est exactement comme, par exemple, une personne qui fait 1,80 va avoir beaucoup plus de difficultés à faire des choses s’il faut se baisser, passer dans des petits trous, s’il faut ramper, etc. Il va forcément y avoir des endroits où on va être moins à l’aise si on fait 1,80 m que si on fait 1,60 m et inversement.
Pour l’intelligence je pense que c’est vraiment ça aussi, c’est à partir du moment où on commence à comprendre qu’on a une forme d’intelligence peut-être « un peu différente » ou peut-être « un peu plus poussée » et que c’est pas du tout pour se comparer et pour se valoriser c’est juste que c’est comme une réalité qu’on peut quelque part le valider l’étalonner par rapport à autre personne. On va vraiment pouvoir prendre en considération aussi ben un peu les travers de cette forme d’intelligence.
Pour moi, une personne qui est très vive d’esprit, qui comprend vite les choses, etc. si vous la mettez dans un travail routinier où elle va apprendre les choses en 3 jours et bien derrière elle va s’ennuyer et puis elle va déprimer, clairement. Donc c’est important de vraiment connaître un petit peu sa dimension psychologique en terme d’intelligence pour ne pas se mettre soi-même dans des situations où l’on ne va pas arriver à faire comme les autres. On pourrait presque dire que l’intelligence a vraiment aussi « ses mauvais côtés' » pourrait-on dire, surtout si on ne la connaît pas et qu’on l’utilise de travers.
Personnellement, je fais un lien très régulièrement entre l’anxiété et l’intelligence. Je ne dis pas que toutes les personnes anxieuses ont ces caractéristiques intellectuelles, c’est pas mes propos hein, mais c’est assez souvent en fait. Une personne créative, si elle peut anticiper plein de choses, si elle a une bonne réflexion avec ces neurones qui s’activent sur tout un tas de trucs, et bien c’est comme une puissance. Et cette puissance, si elle est mise dans un processus où l’on s’inquiète et anticipe tous les problèmes , et bien on va dire qu’on va s’inquiéter 10 fois plus que les autres. Résultat, cela va créer une anxiété beaucoup plus importante que chez les autres.
Ce que j’observe aussi beaucoup c’est le doute, la remise en question, critère qui pour moi est évident. Souvent, les personnes qui ont été diagnostiquées que j’accompagne, même si ce n’est pas moi qui les diagnostique mais des personnes qui ont fait des tests que j’accompagne se remettent de façon quasi-systématique voire tout le temps en question (même là où à la limite il y a aucune aucune raison qu’elles se remettent question !). C’est comme un réflexe, où la personne va douter d’elle-même en pensant « est-ce que ce n »est pas moi vraiment qui est mal fait ? ». Cette capacité à se remettre en question, parfois un peu dans l’excès, est selon moi un petit peu lié aussi à un manque de connaissance de sa propre intelligence qui à ce moment-là n’est pas bien orientée.
Il y a des moments où il faut savoir « s’orienter », un peu comme un faisceau lumineux : si vous sortez dans le noir et que vous prenez une lampe torche et que vous voulez la mettez en pleine face… pas très judicieux ! Je crois vraiment que certaines personnes HP font exactement ça, c’est-à-dire qu »ils ne connaissent pas la puissance de leur intelligence et la manière peut-être de s’en servir correctement. Dans notre société, ce sont des personnes qui sortent dans le noir et, plutôt que d’éclairer un petit peu l’extérieur, se mettent un peu le rayonnement dans la figure. Forcément, c’est la catastrophe.
Voilà un petit peu ce sur quoi je voulais attirer votre attention. Pour moi, c’est vraiment très important de prendre conscience du fait d’être une personne vive d’esprit, qui comprend vite les choses, avec une bonne capacité d’analyse. Cela peut être vraiment dans un domaine spécifique. Par exemple, il y a des personnes qui vont être très douées sur le côté musical sans forcément parler d’HP, on est d’accord. Mais pour moi, ça fait vraiment partie de se connaître d’arriver à étalonner d’évaluer quelque part sa forme d’intelligence pour aussi au niveau relationnel avoir peut-être moins de difficultés avec les autres.
C’est ce que j’observe aussi avec les personnes qui n’ont pas pris encore conscience de leur forme d’intelligence ou de leur quantité. Je n’ai pas envie de rentrer dans des choses qui pourrai être où l’on se sent supérieur, car ce n’est ni l’idée ni mes propos. Mais en tout cas, si une personne est très vive d’esprit et qu’elle elle est intellectuellement assez élevée si elle n’en a pas conscience elle risque aussi, voyant parfois certains collaborateurs/partenaires ou autres s’étonner de leur réaction ou de leur réflexion et pourrait même avoir un point de vue un peu jugeant ou en disant mais c’est pas possible pourquoi il fonctionne comme ça.
Vous voyez, simplement parce qu’ils n’ont pas pris la mesure de leur capacité et de se dire « je raisonne comme ça et c’est très logique à mon sens, ça a vraiment du sens alors pourquoi les autres ne font pas pareil ? ». Et bien c’est juste que parfois ils n’en sont pas capables. Si on l’a intégré forcément on lâche prise, et on sait que chacun a ses capacités et puis temps en temps on va pouvoir aider les autres on va avoir un rapport beaucoup plus soutenant où on va venir vraiment les épauler les soutenir plutôt que de les juger de leur reprocher leurs idées qui sont parfois pas forcément très profitables.
À moyen/long terme parfois ça peut être intéressant, car à court terme la personne n’a peut-être pas pris en compte autant de paramètres que ce que vous vous auriez pu prendre. et puis du coup là si on n’a pas vraiment pris en considération sa propre forme d’intelligence et tout ce qui en découle finalement. On pourrait avoir un discours en disant « mais pourquoi tu fais ça tu es bête tu ne comprends pas » mais ce n’est pas comme ça qu’il faut faire.
Avoir un rapport un petit peu plus dur avec l’autre si on sait que dans certains domaines on a vraiment des capacités un petit peu supérieures alors que dans d’autres ça peut être l’inverse, mais au moins le fait d’en avoir conscience quand on est à son avantage apporte une circulation beaucoup plus fluide. Comme dans certaines situations pour obtenir des postes un petit peu intéressants, ou qui nous conviennent davantage. Cela permet aussi parfois dans des moments où l’on n’y arrive pas de se dire « par contre là je vais te demander d’être plus patient avec moi parce que pour le coup ça c’est quelque chose que j’ai beaucoup plus de mal à faire ».
On n’est pas en train d’être en conflit ou dans une forme de rivalité ou d’essayer d’être égo. C’est juste l’idée de se dire « je fais 1,80m me demande pas de faire ce truc ou si tu me le demandes sache que je vais avoir plus de difficultés que toi parce que ma taille étant plus grande ».
J’espère que ça vous permettra de comprendre, car en fait mon message c’est surtout je pense que si vous êtes sur cette démarche de conscientiser un petit peu votre qualité intellectuelle voire votre quantité alors moi je suis pas fan des tests. Très sincèrement, je trouve qu’ils sont un peu coûteux. Alors peut-être que vous connaissez des gens sérieux et tout ça mais parfois c’est indispensable dans le cheminement d’une personne. Le problème c’est que c’est très coûteux, et puis que derrière vous avez aucune solution ou alors les solutions hors de prix. Après libre à vous de faire ce que vous souhaitez par rapport à ça, mais par contre ça reste quand même intéressant de s’autoriser à évaluer/étalonner un peu sa qualité intellectuelle pour justement mieux se comprendre.
C’est un peu comme si vous preniez conscience de votre schéma corporel, à part que là c’est votre schéma intellectuel. Vous l’avez mieux en main, et vous vous allez pouvoir beaucoup plus facilement l’utiliser et puis ne pas aussi demander vraiment aux autres d’avoir une réflexion comme la vôtre, par exemple.
Pour reprendre encore une fois la métaphore de la voiture, l’idée n’est pas de dire qu’une Porsche vaut mieux qu’un 4×4, car certains valent aussi cher qu’une Porsche. SI vous êtes dans un champ, il vaut franchement mieux miser sur le 4×4. Comme on peut le voir, ce n’est pas une histoire de dire que c’est mieux une Porsche, mais si vous avez des capacités de Porsche intellectuelle par exemple mieux vaut ne pas vous retrouver dans un champ. Il y a des choses que vous ne pouvez pas faire. Pour éviter les trottoirs et les dos-d’âne vous êtes obligé de passer tout doucement. Par contre, dès que la voie s’élargit un peu et dès que le bitume est relativement propre, vous allez pouvoir vous régaler et puis vraiment apporter des choses pour vous-même et pour votre entourage.
Bon j’arrête là, en tout cas j’espère vraiment que mon message est clair car je ne veux surtout pas parler en terme de supériorité/infériorité ou quoi que ce soit. C’est surtout pour que vous puissiez mieux vous comprendre, un peu comme une pièce de puzzle qui va pouvoir se dire « j’ai cette forme, et par rapport au puzzle je sais que ma place est dans le ciel de couleur bleu si la mienne l’est aussi ». Vous allez pouvoir vous rapprocher de plus en plus facilement de l’emplacement qui sera idéal pour vous et qui sera aussi apprécié par les autres, car lorsque l’on est à sa place on offre au monde nos réelles qualités (que les autres n’ont pas forcément). C’est vraiment là où toute la magie de la vie pour moi prend sens.
J’espère que ma petite vidéo vous fera plaisir qu’elle vous permettra de réfléchir à des choses auxquelles vous n’auriez peut-être pas pensé encore. N’hésitez pas à partager et à liker. Cela permet à cette chaîne de monter un petit peu voyez dans les algorithmes et d’être plus connecté à d’autres personnes encore.
N’hésitez pas à me contacter si vous avez besoin également et puis moi je vous dis à très bientôt pour une prochaine vidéo ! »